DarkFlow, le visage sombre de l'affaire Clearstream
Cela fait maintenant trois ans que le feuilleton judicaire ClearStream bat son plein. Après les révélations sur les corbeaux et le meurtre du juge Trichet, le juge Henry Pons a soulevé un lièvre récemment en mettant à jour l'emploi parallèle de notre ex-président Chirac, ce dernier serait en fait depuis plus de 20 ans le patron d'une société militaire privée et très secrète, nommé DarkFlow. Cette société secrète serait un conglomérat de PMC (Private Military Company), engagé dans tous les conflits mondiaux, et générant des milliards de dollars de contrat annuel. Les membres du comité de direction de DarkFlow ne se connaiteraient pas les uns des autres, mais tous posséderaient les postes les plus hauts placés de la planète, ils se dénommeraient entre eux "Les Patriotes". Jean-Louis Gergorin aurait voulu, à travers les premières lettres anonymes, et l'ajout des noms de politiques, avertir les juges sur un aspect beaucoup plus important de l'affaire. Les budgets de la défense n'ayant jamais été aussi important que sous l'administration du président Chirac, ce dernier aurait donc détourner de l'argent public vers des contrats militaire privé. Le président Montebourg en a appelé au conseil de sécurité de l'ONU pour ordonner une enquête internationale sur ces agissements. La Russie, les États-Unis et la Chine ont déjà fait savoir qu'ils opposeraient le veto en cas d'enquêtes sur leur financement du secteur de la défense. Il semblerait que le business de la guerre a encore de beaux jours devant lui.
<< Home