Un groupe nommé "Human Justice" revendique l'assassinat du professeur Khan
Un groupe néo-terroriste appelé "Human Justice" a reconnu l'assassinat du Professeur Abdul Qaeder Khan, père de la bombe atomique pakistanaise. Dans un communiqué spammé sur les messageries mondiales, le groupe revendique l'assassinat en ces termes : "M. Khan s'est rendu coupable de crimes grave contre l'humanité par la mise en danger de la population mondiale à des fins pécuniéres."M. Khan avait en effet reconnu avoir vendu les plans de la bombe atomique pakistanaise à divers régimes dictatoriaux comme la Lybie, la Corée du Nord ou l'Iran en 2003. Sa confession télévisuelle lui avait valu une absolution publique, et ce dernier circulait depuis librement.
Il a été retrouvé mort de déshydratation, enfermé dans son caisson à UltraViolet électronique. C'est la société d'Electricité GE s'inquiétant de la consommation électrique du domicile de M. Khan qui a averti la police californienne. D'après les premiers éléments de l'enquête, le caisson était verrouillé électroniquement, le système de secours bloqué. Les enquêteurs premièrement penchés pour un accident du au disfonctionnement de l'appareil. Mais ce dernier étant branché à l'Internet pour sa maintenance, la police a donc pris très au sérieux le communiqué du groupe, et étudie la possibilité d'un hacking sur le lit bronzant de M. Khan.
Le groupe "Human Justice" s'est fait connaître en 2008 par l'attaque et la prise de contrôle du centre de supervision des centrales nucléaires EPR. Il s'agissait d'après les auteurs, de prouver les failles de sécurité du système d'information d'EDF.
Le passage à l'acte via le meurtre revendiqué crée une nouvelle classe de terrorisme intelligent, via les moyens modernes de communications.
Dans leur communiqué, "Human Justice" s'étant également sur les cibles potentielles : "Human Justice ne croit plus en la justice corrompue des démocraties de façade, nous rétablirons la notion de responsabilité, ainsi tout dirigeant de pays ou de multinationale devra payer ses actions d'homme corrompu, afin de mériter la confiance réelle du peuple."
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